Libération
N'est-il pas juste qu'une main délie nos cous,
et entrouvre la voie aux respirations inouïes?
Il faudrait partir dès le premier regard en fugue
Là ou le paysage est un refuge
pour les esprits aimantés.
Nous sommes à la fois,minéral et fluide voyageur.
Nos âmes
se tairont en même temps.
Battements affaiblis aux murmures
de la source,ou personne ne va.
D'aucun ne défie la montagne,
ni l'ombre du drame.
Quand l'arc en ciel gravite,
le cénacle se vide.
C'est ainsi que se retrouve le silence
apaisant .