Final life
Quand toutes ses identités furent déshabillées, Comme un réservoir d’eau impure s’égoutte à meme les lèvres tendues… Il vit qu’elle l’avait attendu. La peau transparente estampée l' arrache à sa griserie. Le vent hurle des mots brouillés au final du spectacle nocturne. La silhouette s'enfonce dans le brouillard de sa boite cranienne. Le visage se matérialise Les corps se courbent et se cherchent dans le drap empreint des amours à genoux.