Le blog de Calliope.

Un coeur comme un boulevard passant Un regard qui ment et pourtant la blancheur est incrustée dans ses souvenirs . Portrait sans contour. Je vous laisse respirer le noyer et l'odeur des parterres sous les statues de terre... Vous m'aurez fait croire que...

Le matin boit une lumière inaltérable et fugace Le serrement d'un noeud magique autour des yeux trop faibles pour contenir la dorure de l'espace .

Il y a des heures et des heures lacrymales, des sillons humides depuis la lune jusqu'aux sables silencieux... Il ya des traces impavides devant tant d'amour déjoué, négligé Tant de parcours usurpés d'une âme vaincue qu'aucune étoile n'assouvit. Il y a...

L’amour n’est plus qu’un habitant fauché, en transit sur des nuées Une greffe de la vie qu’ils ont saccagée Tu les regardes comme un tireur de Napalm avant l’atroce brûlure Le mois se couvre, opaque,les évennements s’enfouissent en continu. Octobre ressemble...

Quand la parole fut échangée les yeux clos de deux lacs au repos... Il fallait que ce soit beau de cette beauté de velours. Transparent aux membranes déployées. Vital ,unique sans équivoque, une buée persistante clarifiée.

Ne pas s'appesantir,frôler,fuir à qui le tour à qui l'étourdissement ? Mais l'univers aime dessiner les contours ouvrir les cranes et y répandre des âmes surprises...

Elle s’éloigne La flamme a carbonisé les corps mais elle, se consume encore. Personne ne passera le seuil indemne, Les mots englués résonnent à sa tempe. L’immense joie de serrer contre soi cet élan à visage d’ homme, Le tournoiement d’une confiance enivrante...

Ne sommes nous pas déjà morts plusieurs fois de cet inextricable déchirement qui sectionne la gorge offerte ... Depuis l'artère jusqu'à la rivière de lumière rouge et blanche Ne sommes nous pas dépouillés et revêtus de lierres de filaments d'amour et...

Dans nos tetes soudées les images se précisent les couleurs se posent nettes que le soir ne scelera pas. Regarde, L'enfant glisse s'essouffle à poursuivre son écharpe de laine. La cascade crépite sur la pierre Tu t'assois sur le banc près de mon coeur...

Tu as réveillé mes rêves d'un possible inaltéré ,un soir de décembre. Quand ta main m'accompagne un peu suis je la seule à voler par dessus les toits? Que se passe t il de l'autre coté des longues plaines là ou les oiseaux perdent haleine là ou la pluie...